génial!
une grosse claque, les Dresden dolls, étaient trés en forme, le port d'amsterdam en français pou nous (ils l'avaient joué en anglais sur le reste de la tournée), et le trés énergique No one knows des QOTSA.
Puis nin, la claque, la premiére fois que je les voi et putain!!!!
et quelle chaleur dans la fosse! j'étai trempé de la tête aux pieds... ravi d'avoir rencontré nothing et sa copine, de revoir tout ceux de la ninfr (la ml), et d'apercevoir ceux de la page française.
_________________
.:Jbaâl:. |
Six ans sans NIN en live, ça commençait à bien faire. Impatience et excitation à son paroxysme le matin même. Le concert sera forcément meilleur que le dernier au Zénith où Trent était devenu le roi du somnifère. A 18h, sur la route du Zénith, le copain avec qui je vais au concert me conseille de boire jusqu’à ce qu’à ressorte par les oreilles tant il risque de faire chaud (la structure métallique du Zénith accumule soit disant la chaleur). Je lui ris au nez, je suis un homme moi, j’ai pas chaud (c’est du moins ce que je pensais). Tout juste arrivé dans la sale, on dégouline comme des mottes de beurres passées au feu, c’est déjà difficilement tolérable. De l’air ? Non, y’a pas ? O.K. Les Dresden Dolls, sorte de clowns goths caricaturaux tiennent bien la route pour une première partie et donnent déjà envie de pogoter sur leur reprise de Black Sabbath. Après une demi heure à faire les check sounds et réglages pour NIN, l’intro de Pinion monte progressivement et recouvre le disque transitoire. Le groupe se pointe dans l’obscurité totale, en attendant le boss, un Reznor grasouillet et hyper baraqué. Dès les premiers titres c’est l’euphorie dans le pogo au troisième rang. On déplore pourtant très vite le fait que le son soit aussi faible pour un tel groupe, et toujours l’absence du moindre brin d’air. Après cinq titres les malheureux des premiers rangs sont déjà évacués par dizaines. C’est effectivement très dur de tenir le coup avec cette chaleur abominable (il n’aurait manqué que Heresy à la setlist et on aurait vraiment été en enfer…). Le groupe est en tous cas hyper bien rodé et enchaîne les titres sans bug. Les nouvelles chansons sont effectivement mauvaises (voire pire en live que sur l’album - navet) mais celles des premiers albums meilleures que jamais. Entre deux lampées de flotte volées aux molosses de la sécurité, on essaye de tenir le coup au second, puis au premier rang. La chaleur bousille quand même tout le plaisir qu’on peut avoir à assister à un concert qui est presque en tous points génial. J’arrive enfin, dans un dernier jet d’énergie à enchainer 5 slams sur Head Like A Hole (dont 4 où je me suis vautré la tête la première), et le dernier où je me prends un direct du droit dans les dents par un rat du service de sécurité. Je rentre chez moi à 50% K.O, dégoulinant de bave, sueur et maculé de bleus. La prochaine fois, je me fais le concert assis.
GUI@B |
en general : faisait tres chaud, beaucoup trop chaud et dans la fournaise du zenith c'etait irrespirable et vraiment desagreable... a moins de partir vraimetn sur le cote ou assez loin c'etait assez difficile de bien tenir...
les dresden dolls : une demi heure de concert mais ils sont vraiment vraiment excellents. La chanteuse fait ce qu'elle veut de sa voix, le batteur est a la fois impressionant et tout le temps demonstratif...
jeu de scene excellent, tres bonne chanson superbements interepretees et surtout la reprise de brel exceptionnelle...vivement dans 8 jours! :)
nin : une setlist assez longue, avec quelques points noirs (home, suck et cette saloperie de piggy qui veut pas clamser) et des chansons qui font toujours plaisir (burn, TDTWWA, l'intro de something i can never have). Closer sonnait super bien, le debut (jusqu'au cassage de lampe) le milieu (the wretched-reptile) et la fin du concert (apres hurt) etaient vraiment tres bons. Tres bonne interpretation des morceaux a part sur the line begins to blur (on entendait pas le clavier). Assez decu de dead souls (super repetitive et trop longue). sinon :
- le foirage de something i can never have m'a fait chier... c'est une des chanosns que j'attendais le plus mais il a faitson caprice... le pire c'est qu'ils ont enchaine avec hand that feeds et que le public semblait content :'(
- le merchandising : 25 euros le t shirt, le prix va encore mais quand tu vois al qualite... suffit de comparer un t shirt de cette anée avec ceux d'il y a 6 ans pour voir que le tissu est bcp plus fin, que les coutures sont mois solides... entre the spiral, ses t shirts, les prix des places, les sorties d'editions limitees et autre faudrait peut etre essayer d'arreter d'arnaquer les fans... a moins que ca soit ca le concept de la chanson "hand that feeds"...
- deux trois phrases de tout le concert et c'est tout. Un show tres mecanique bien huilée tres bon donc mais qui manque un peu de vie et qui a part sicnh (mais en mal) et le fait de voir reznor sur scene (mais bon quand tu l'as deja vu c'est plsu pareil) manque pour moi cruellement de moemnts memorables...
mais par contre je suis sur qu'en festival ca sera mieux! :)
TRM |
indescriptible, deja y devai faire 40°C dan la sale, irespirable, dan la fosse ct la mort!!! ca puai la transpiration, yavai de ces pogo.... dailleur g failli me casser la gueule.
sinon le concert etai excellen exepté ky a eu apparemen une coupure de couran pendan Something I can never Have, ce ky fai kon a eu la moitié de la chanson, d'appre mes souvenir on a eu droi a Home, Reptile, Burn, Hurt, The day the all world went away, the frail, the whretched, Head like a hole, you khnow what you are, terrible lie, march of pig, piggy...
La premiere parti etai vraimen plaisante d'otan plus ke ct leur dernier concert ac NIN, ils on chanson un truc en francai : "dan le port d'amsterdam..."
Ambiance de folie, trent s'est VNR contre son micro, il la d'ailleur jeté dan au public, il a bien sur ballancé de l'eau...
enfin bref ya tan de chose a dire, et moi sui crevé...
je laisse le relai o autre , vai me coucher
NIN91 |
Whew! Just got back...let's see:
I have no idea what the exact set list is but I'm so happy that we got:
Dead Souls
Reptile
SICNH
Burn
Home
I missed them all at Hammerstein so hearing them here was great.
I got there at 5:30 and met up with the NINFR messageboard people (thanks you guys for making me feel welcome ) and ended up hanging with a guy who's name I don't know, and who spoke English as badly as I speak French (envoie moi les photos svp, n'oublie pas!) I was really happy that I managed to smuggle my camcorder in. It was my first time bootlegging, if the footage didnt come out like crap I'll post it somewhere.
Dresden Dolls were good as usual, they didn't play Girl Anachronism, after Half Jack, someone came and whispered to Amanda and I guess for some reason they had to cut it short.
The venue was a freaking furnace, I was sweating even before NIN came on. I kept thinking how it must suck to be a goth in summer time. Throughout the concert I was looking at the pit, and it was really tame but I know that that was because of the insane heat. At one point Trent was like 'So you guys haven't heard about air conditioning here or what, Christ.' and Amanda commented on it too. Also, I was extremely pissed that SICNH got screwed up. Trent shared my sentiments because he proceeded to bash his microphone stand, which was alot of fun to watch, and then tongue lash the techs, poor guys.
And now for the music: I never realised TDTWWWA could rock so much, the live version is just so much better than the album version for me. I don't really like the song as far as NIN songs go, but that might have been the highlight of the night for me. Aaron was a maniac as usual, but I think he was really frisky tonight, he was running all over the place and at the end he trashed his guitar. Jerome was alot more animated tonight than when I saw him at Hammerstein. I really liked the Frail as well, it was really delicately done. In general, I thought that the sound quality was really good. Trent's vocals were amazing, can anyone remember for which song he sang one line in falsetto? It was unexpected and really cool.
Also the lighting OMG. I didn't appreciate the lighting in Hammerstein cause I was too close and also fighting for my life most of the time, but being far from the stage this time I could really see it properly. That song in which there was just the blue and red, flashing one after the other, it was really trippy and cool, and the back drops were insane, I really loved the flames for Burn. (EDITED OUT). All in all, awsome show. Better than Hammerstein for me but that's this time I actually remember stuff. Yeah I know this is all over the place, I really need sleep, A demain
To the person who wanted to hear about Dresden dolls: I was busy emptying my bank acc at the merch booth for the first couple songs but they played:
Coing Operated Boy
Half Jack
War Pigs: And they said it was a love letter to the fans overseas and a f--k you to Bush, and of course everyone in the audience screamed.
Port of Amsterdam
Cover of No one knows by QOTSA
and I can't remember what else
During Half Jack they brought out this girl who was dressed in shear white, and performed some sort of mime thing during the performance. It kind of annoyed me but whatever. Brian said thanks to Trent and Amanda thanked the crew, and because it was their last time with NIN on the tour, she said she would hand over to QOTSA by way of the cover.
I also thought Trent was fairly chatty. He asked how we were doing. I think he was concerned about the heat. About SICNH, I think the mic wasn't working and that was why he got pissed, he said something like "hold on, while our crew gets their sh-t together" and then he said something along the lines of "maybe we can do this one right" and just played whichever song came after
And one last thing: I was at Hammerstein and I thought that those fans who were decked out in all their goth glory were fierce but they had nothing on the NIN fans here. These guys are hard core. Everyone was in regulation black and the majority I would say had a NIN t shirt on.
Gitmeb |
What a concert ! For me it was very physical. I stayed pretty close to the stage and it was quite tough : The temperature was fucking high ( something like 40° without including the mouvement and the contact with others warmth ). The highlights songs for me were:
Hurt, you know what you are, the hand that feeds, terrible lie and dead souls.
Trent didn't really talk to audience much ( I really regret that) and they cut the concert short after head like a hole ( no encore songs ).
I'm glad that Trent said something about the venue air-ventilation system "don't you guys fucking know air-conditioning" ... hehe, I guess they weren't. Trent was sweating hard, it was very physical for him too.
I saw a lot of people with cameras ( one guy took an awesome blue tainted picture of Trent at the beginning of The Wretched ), so we should expect a lot pictures of the show. I'd love to see an audience bootleg around someday.
A very intense concert: like a journey in hell ( 40°c all the time ).
Floody |
Premier concert de nin pour moi. Arrivé à 7 heures du matin. J'habite à 15 min du Zénith, et je suis le premier. J'ai du boulot pour le lendemain et mon travail écris (un scénario) me permet de ne pas voir le temps passé. Discussion avec mes voisins de file d'attente, l'ambiance est bonne enfant. Beaucoup de t-shirt de NIN dont le très convoité par mes soins downward spiral (que j'arriverais à choper un jour j'en fait le serment), enfin pour dire que c'est un public composé de passionés.
A 18h30 les portes s'ouvrent. Euh j'ai toujours pas compris l'échapatoire de certaines personnes qui ont permis de doubler pas mal de monde. Enfin bon, je me place en seconde rangé. J'hésitais avec les barrières, mais je souhaitais bouger durant le concert. Il fait chaud et on est assez serrer, à ce moment là ca ne m'inquiète pas plus que ça. On attend, on attend: et tindin!
The Dresden Dolls --> M A G N I F I Q U E 9/10
C'est la meilleure première partie que j'ai jamais vu. Ca bougeait pas trop dans le public mais moi en tout cas j'étais captivé. Superbe jeu du batteur et de la chanteuse/pianiste, une belle mise en scène théâtralisé (le batteur m'a enchanté), un beau jeu de lumière. J'ai beaucoup aimé la deuxième chanson (Coin- operated boy), et la dernière consitue le plus fort moment de la setlist . La moins bien pour moi serait la reprise des Queens of the Stone Age, qui est déjà très bien, mais peut être pas assez rempli du style de notre duo comédien.
Enfin voilà on attend maintenant Trent Reznor et sa troupe.
Les techniciens s'instalent. Petit détail amusant pour la suite: deux d'entre eux passent leur temps à mettre du scotch et d'arranger au mieux une boite noir situé au milieu, que j'ai compris seulement plus tard être une baffe (oui parfois j'ai du mal). J'y reviendrais plus tard.
Une ptite musique de fond, tout d'un coup on reconnait un air familer à nos oreilles. Mmh ce serait pas Pinion? Mais si c'est ça! La lumière est encore allumé, devant on est vraiment sérré, comme des sardines, et il fait chaud c'est affolant (pour l'instant ce n'est encore rien...).
Hop tout s'éteint, et les musiciens entrent en scène. Paf un Wish dans la gueule! L'ami Reznor est en pleine forme, c'est sympa de le voir. Je suis juste devant, il est tellement prêt, bien sympathique.
Mais alors là je vous raconte même pas: on était tellement sérré que c'était n'importe quoi: y avait même pas de place autours de soit pour sauter ou quoi que ce soit, faut s'imaginer la scène on faisait des mouvements vers le haut tout droit, en se frottant au maximum: comme des lombrics, mais vraiment. C'était ridicule, et un peu frustrant pour la chanson, les pauvres gars de la barrière se faisaient défoncés (par moi en plus, désolé j'ai pas fait exprès!). Un moment je les frottais en essayant de sauter mmh comment dire ca faisait assez bizarre. En plus du serrage, une ou deux personnes viennent s'incruster, comme si c'était pas déjà assez la galère. Donc on meurt encore plus, c'est pas que j'apprécie pas le tournage de place, mais là on ne pouvait tout simplement pas. Ca continue, on est toujours aussi sérré mais on arrive à se débrouiller.
Pour résumer l'ambiance, c'était pas du tout violent, non c'était bon enfant, on sautait un max on bougeait, vraiment très bien. Non le méga problème c'est le serrage et la chaleur INFERNAL, en plus vous mettez les deux à côté ça fait l'enemie absolu.
Sur le coup je comprend pas, mais au fil du temps je me retrouve à chaque fois un peu plus loin. Après je me dis que je me fait gruger ma place progressivement. Au début ça m'énerve mais finalement c'est pas plus mal puisque je trouve de la place et ça me permait enfin de bouger (véritablement), et je fini par trouver naturel cet échange de places, après tout y a pas de coups donnés pour en arriver là.
Alors le concert était fabuleux, mais j'ai trouvé que c'était une vraie boucherie, pourquoi:
- chaleur de malade, à étouffer.
- du monde du monde, pas de place pas de place
Et: la chose dont je n'avais pas pris conscience: un concert de nin y a quand même beaucoup de chansons bourines. Oui parceque voyez vous, pas que je sois jaloux, pas du tout, pas du tout, mais la vache j'ai pas l'habitude de ce genre de concert et de son rythme éfrainé. Pourtant je suis jeune, mais la vache, ça calme. Après quelques chansons je m'éssoufle rapidement, je profite donc plus du spectacle, de la scène. Un peu déçu par moi tout de même, de ne pas profiter à fond des chansons de mon groupe préféré. Je me dis que tout le monde ne peut suivre à fond le rythme du début jusqu'à la fin. Je suis mort, j'étouffe il fait trop chaud. Je regarde, mais ouf j'arrive à reprendre le peu de force qu'il me reste pour me lancer dans certains morceaux: gave up, waou! Pour la fin je me fait plus spectateur, ça reste une bonne expérience, mais je ne suis pas capable de me bouger tout le long du concert, ça m'a rappelé les Chemical Brothers à Rock en Seine, c'était pareil.
Ah oui je ne vous ai pas raconté l'anecdote: donc le sieur Reznor enchaine une chanson. Tout à l'air de se passer bien, mais je ne comprends pas il a l'air énervé. Il commence à prendre le micro et son pied et il le fracasse sur l'enceinte situé entre la scène et le public, là ou y a le service d'ordre, mais exprès quoi, juste sur la baffe qu'avaient arrangé les techiciens avec tellement de soin. J'étais un peu géné de son geste, je sais pas, j'ame bien le voir tout cassé d'habitude mais là je trouve qu'il a un peu abusé. Enfin c'est pas méchant, mais on a quand manqué Something I can never have. Du coup on a eu something i can never play. C'était moins bien, forcément. The Hands that feeds donne bien en live, et pas mal des nouvelles chansons aussi. Dommage que j'étais si mort, mais c'était terrible de toute manière. Ah aussi j'ai regretté d'être plus loin de la scène alors que Trent est desendu dans son public pendant Piggy. Enfin tant pis.
Ah oui je me suis aussi pris une bouteille dans la gueule d'Aron North, qu'y a été shooté avec son pied. C'était magique.
NinTeen25 |
Just got home after a 3 hour drive (with my three friends).
I'm happy I saw a 110 min. show (after Mexico-Finland, Paris too) and not the usual 90 min. show.
What happened during 'something i can never have'?: I don't know. It looked like a technical problem, but I think it was a mental problem (troubles in the band or a bad day for Trent or voice-problems).
When they started after a few minutes, there was a strange atmosphere in the air. There was something wrong.
Overall a great show.
Lost some weight by the heat. It was like a boilingroom! Not normal.
PS: again, TLBTB was terrible!
On we go to Rockin'Park next sunday.
Witte |
As expected, the Dresden Dolls show was very nice. As it was their last show as NIN support act, they wanted to do something special, so they talked a lot to the audience, they thanked warmly Trent Reznor, NIN and crew, they played a few songs of their album (including Good Day, Half Jack...) and 3 cover songs :
- War Pigs (originally by Black Sabbath, excellent cover, "dedicated" to George W. Bush)
- Amsterdam (originally by Jacques Brel, sung in French, contrary to David Bowie's version, very nice anyway)
- No One Knows (originally by The Queens Of The Stone Age, who'll be the next tour opener for NIN, unfortunately half of the cover sounded ugly, the piano was not matching the voice).
Unfortunately they couldn't play the last song (which may have been Girl Anachronism) for schedule reasons.
It's very difficult for me to write a complete review of the NIN show. Before this show, I saw them once during the Fragility Tour (November 1999, same location). In 1999, the arena was 4/5 full, this time it was overcrowded. Unfortunately the A/C failure made this show very hard to support so a big part of the audience remained very passive. The sound was absolutely great, I haven't listen to such a good sound in this place since a David Bowie show in 2002. It was loud (but not too much) and very clear. The sound of Reznor voice on Hurt for instance was just tremendous. The setlist was great, it was a big surprise to hear songs such as Reptile and Dead Souls. I was very desappointed when Trent stopped singing Something I Can Never Have because the first verses were so beautiful, it could have been superb. Trent didn't say anything during the show (and especially nothing during Starfuckers, Inc.), except something about the A/C.
In conclusion, it was very nice to see Trent and the new NIN again after a few years. The show was good but definitely not perfect (heat, Something I Can Never Have, no talking to the audience...). My girlfriend didn't know anything about this band (except some March of the pigs live footage from Closure video), so she discovered them during this show, and it has been a nice surprise for her. I'm looking forward to seeing them again during summer festivals, for it may be something very special in open air.
institute-benjamenta |
Not a great show but surely not a bad show.
Really TOO overcrowed and f****** warm.
Looks like on SICNH he get really pissed off..
From where I was (near the PA at the left if you are in front of the stage), It looks like he destroyed a stob or something like that. The sound was really crap at the begining: amplitude in Wish by example, the bass on TLBTB, guitare too high in closer (i couldn't hear the synth as it supposed to be), etc..
Maybe were my expectation too great since I saw them in 99/00 (Tilburg, Werchter etc).
But finally I think that the heavy heat did not arrange the things. For anybody.
Let's wait for werchter in 1 week
Ollie |
Pour ce qui est du regroupement ninfr : bon, on était un peu à la
bourre à la fontaine, on est arrivés à 17h20 au lieu de 17h... du coup,
je pense qu'on a loupé certaines personnes, qui, ne nous voyant pas, ont dû filer direct.
Je pense notamment à Jéry de Lyon, et à Millemagotte de Cergy...
Sinon c'était bien cool de voir tout le monde, de rencontrer de
nouvelles personnes : même si on n'a pas tous pu discuter (faut dire aussi que la chaleur, ça anéantit lol), c'était déjà sympa de se voir.
J'ai adoré les Dresden Dolls, c'était magnifique et jouissif, 2 bons
musicos, dont une chanteuse exceptionnelle : quelle voix ! Sans
compter leur mise en scène (la chorégraphie avec la femme...), et le fait qu'ils aient l'air très gentils.
Et puis on a effectivement eu la meilleure version d'Amsterdam qui
nous ait été donnée d'entendre : je suis sûre que Brel en a été
bouleversé dans sa tombe ;) Seul regret : ce fut trop court, il aurait
fallu au moins 2 morceaux en +...
En tout cas, pas de doute, je vais faire de la pub pour le groupe
autour de moi !
Ensuite, je n'en suis pas revenue comme le concert a assez vite
démarré : d'habitude on attend des plombes, là je sais pas si c'est
parce qu'on étaient plusieurs que le temps a passé plus vite, mais pas
eu le temps de s'impatienter en ce qui me concerne !
J'étais justement en train de dire au clan des filles, avec lesquelles
j'étais dans la fosse : putain vous allez voir si ils démarrent par
Wish comme ces temps-ci, ça va tout de suite être d'enfer... que paf !
ils ont éteint d'un coup, et on a tout de suite
entendu Pinion !
Donc le début, ça a effectivement été le pied, because enchaînements
de bonnes grosses valeurs sûres qui permettent de s'éclater. Du coup
quand j'ai entendu l'intro de Something I can never have, j'étais
doublement contente : d'une part parce que je l'adore et j'avais
hâte de l'entendre en live, d'autre part pour reprendre un peu de
souffle
(c'est là qu'on voit que dès qu'on reprend ne serait-ce qu'un peu la clope... lol)
Alors c'est sûr que ça a été super décevant que Trent finisse par
l'arrêter... et ne jamais la refaire ! La frustration !
Bon on était content de The Hand that feeds, tant pis pour la pause,
on va se remettre à sauter lol...
Bref, je vais pas commenter chanson par chanson, ce serait fastidieux.
Ce que je peux dire, c'est que The Day the world went away me fait
toujours autant chier (elle m'a fait bailler, c'est dire), et que
j'aurais préféré qu'ils jouent With teeth ou Getting smaller à la
place de Love is not enough...
J'ai trouvé No, you don't assez ratée par ailleurs, ou alors c'est que
mon oreille était déjà endommagée :p
Sinon la basse était jouissive, c'était bonnnn :) Merci Jeordie, en
plus il a la classe ce mec :)
J'ai beaucoup aimé le fait qu'on entende le public sur Piggy, et
globalement (à part pendant les quelques cafouillages de début) le
groupe avait l'air content, j'ai même cru voir Trent sourire pour de vrai :D
Sinon c'est vrai que les morceaux étaient peut-être mal répartis, avec
beaucoup de bonnes choses (et de speed) au début et des choses plus
insipides (et/ou molles) vers la fin. M'enfin on a quand même eu
droit à un enchaînement royal de bonnes chansons, et je me suis dit
que beaucoup de mes préférées avaient été jouées :)
Pour ce qui est des lumières, c'était, comme prévu, sobre :
visuellement beaucoup moins impressionnant qu'en 99 donc.
Le son était OK, bien qu'à la fin il m'ait paru plus « brouillon »,
mais là je sais pas si ça vient pas de mes oreilles ;) Et sinon, clair
que le Zénith était plein ou quasi, en tout cas rien à voir avec 1999 !
En conclusion ravie d'avoir à nouveau passé un excellent moment (ça
passe toujours trop vite) avec NIN, et je n'ai qu'une hâte : les
Eurocks, pour remettre ça, oh oui :)
Remarque : dans leurs plans « anti-canicule », ils feraient bien de
rendre obligatoire la climatisation des salles de spectacle, en
particulier pour les concerts de rock !
A un moment, c'était atroce, je me suis dit c'est pas possible, il
doit faire 50°C ! Hé bien, même si j'ai souvent le sens de
l'hyperbole, Laurent a pensé la même chose que moi, ça lui a pile
rappelé... la Vallée de la mort ! ! lol
amdbl |
alors ! alors ! alors !
bon d'abord les points négatifs au moins ce sera fait :
2005 en france pas de climatisation dans une salle où la chaleur a du par moment tourner autour des 50°, vente de bouteilles d'eau de 25cl à 3€ , l'impression de voir une armée de clônes qui aurait pris des coups de tampon "NIN" sur leurs vêtements...
je me suis fait gerbé dessus par un abruti (heureusement vers la fin du concert).
le guitariste avait des tics obsessionels compulsifs et frénétiques mais malheureusement pour le spectacle trop répétitifs à mon goût.
bon voilà pour le mauvais ce sera tout.
stroumph costaud (je reprends l'expression qui m'a beaucoup fait rire) était très en forme et beaucoup plus humain que je ne me l'imaginais. toute sa puissance m'a fit frissoner de plaisir, que dis-je hurler de plaisir. je me retrouve d'ailleurs sans voix aujourd'hui, qu'importe, il y a eu l'ivresse.
la joie d'entendre des morceaux de b.o. "burn", "dead soul"...
la peur de voir le concert s'arrêter mais encore la joie de constater qu'il n'en fut rien.
le plaisir d'une caresse fugitive sur mes fesses par la main d'une evanescente inconnue lors de "hurt".
la fureur du gros son qui fait que l'on se sent tout aussi physique qu'intellectuel.
la jouissance absolue de voir qu'il n'y a pas de rappel convenu.
le plaisir de rencontrer certains(es) d'entre vous et notamment jbâal et ninzor.
en résumé, je suis sorti heureux de ce concert. j'aimerai pour une prochaine fois un concert plus intimiste mais est-ce possible quand nine inch nails devient idole ?
quand je réécoute aujourd'hui WT l'album j'ai cette agréable impression de toucher de plus prêt au timbre, à la chaleur de la voix de notre ami trent.
pour conclure je dirai que j'ai été complètement envolé par la partie sonore. le visuel m'a fait limpression d'avoir greffé à mes rétines un écran haute résolution.
NoThing |
It was a very good concert despite the excessive warmth and the technical problems as mentionned above (weird saturating sound on some tracks, the mic during SICNH...). What disturbed me the most is that we were used to get projections and screens behind the stage (like during the TDS and TF tours) and this time is was only light shows, quite poor in fact. That's too bad because I have always consider NIN as a mix of audio and video/graphics and using the WT graphics in the website could have led to great scenology. So Trent is back to the basics : the most violent songs (or if needed redone with a sound more rock like TDTWWWA that was damned good and all the PHM tracks), no break but all the concert in a row, no talking with the audience, no encore at the end, roughly Trent's "punch in your face".
Nice ambience in the arena : mix of gothics, skaters, a few punks, and hard core NIN fans (everybody was wearing black t-shirts or black cloths).
Not my prefered performance on NIN (the fragility tour in the same venue, Le Zenith, was outstanding, but a good punchy NIN.
Machineman22 |
En plus de vous bassiner avec The Cure, je vous ai déjà aussi pas mal bassiné sur ce site avec Nine Inch Nails. Je tiens donc à vous rassurer tout de suite : c'est loin d'être terminé !
Ceci étant, si je reviens aujourd'hui sur le groupe génial de Trent Reznor, c'est pour la bonne cause : je suis encore tout retourné de leur concert au Zénith hier soir. Ce qu'on peut appeler un événement : 5 ans que le groupe n'avait pas joué dans la capitale, des places qui se sont arrachées en deux jours, une attente énorme de la part des fans…
Moi, je n'avais encore jamais vu le groupe en concert (je reviendrai pas sur le fait que je l'aimais pas avant, j'ai trop honte !). Alors cet événement prenait en plus une tournure exceptionnelle à mon humble niveau. Vu comme j'attendais ce live, j'allais forcément en ressortir soit déçu, soit sur un petit nuage…
En sortant du Zénith hier soir vers 22h30 (enfin de la fraîcheur !!!), j'avais la tête pleine d'images exceptionnelles et de musique. J'étais certain d'avoir assisté à un des tous meilleurs concerts de ma vie. En rentrant et en me baladant sur les forums consacrés au groupe, j'ai vu que je n'étais pas le seul dans cet état. Et puis, quelques critiques ont commencé à percer, des débats se sont lancés.
Après une nuit de sommeil agitée, j'ai reconsidéré la question et j'ai alors du me rendre à l'évidence, et de façon tout à fait objective : C'ETAIT ENORMISSIME !
GENIAL.
GRANDIOSE.
SUBLIME.
Un des meilleurs concerts de ma vie
(malgré quelques petites scories évidentes, mais qui ne gâchent pas l'ensemble).
Ca méritait bien un long récit circonstancié…
Doucétendre et moi avions décidé d'arriver assez tôt au Zénith, imaginant que ça serait bondé. Mais bon, on ne pouvait pas s'attendre à ça ! A peine au niveau de la fontaine, des hordes de gothiques et de djeun's en noir convergent vers le bâtiment. A une centaine de mètres de l'entrée, on voit au loin la foule qui s'accumule, et on découvre que les grilles ne sont pas encore ouvertes. Ca va être chaud ! On pouvait pas se douter à quel point…
On arrive à se faufiler un chemin jusqu'à notre popine Clairette qui nous attendait là. Attendre, il va falloir s'y habituer, parce qu'on va passer presque une heure en plein cagnard en avançant à petit pas. Ca nous donnera l'occasion d'un beau concours de looks et de se désoler de voir qu'il y a des inconscients qui ont osé amener DES GOSSES à un concert de NIN ! Plus tard dans la soirée, on les plaindra sincèrement (bruit, chaleur, public de malades, groupe encore moins sain… tout ce qu'il faut pour un développement épanoui !).
On finit par entrer dans la salle, soulagés de pénétrer dans le saint des saints (même si je me rends compte à ce moment là que j'ai paumé ma carte intégrale). Le soulagement sera de courte durée… En effet, il fait encore plus chaud à l'intérieur que dehors sous le soleil (souuuuuuuus, le soleiiiiiiiiiilleuuuuu) ! Toute la soirée, on va vivre dans une atmosphère étouffante (au bas mot 40-45 degrés, sans exagérer !) et suer abondamment pendant 3 heures. Jamais je n'ai eu aussi chaud de ma vie, c'était hallucinant. Les gradins vont se transformer en un concert de gens qui agitent des flyers pour se rafraîchir, les vendeurs de bière vont faire le plein, des gens dans la fosse raconteront qu'ils ont vécu dans un monde de sueur et de t-shirts mouillés pendant toute la soirée. Trent lui-même s'exclamera plus tard « Don't you guys fucking know air conditionning ? ».
Le Zénith est bondé, les gradins sont presque déjà pleins, mais on trouve une place presque au milieu avec une bonne vue de la scène, un peu lointaine quand même. On ne pourra pas admirer les bras de camionneur de Trent, mais on voit suffisamment bien pour être contents de nos places.
A peine le temps de finir un sandwich et d'aller m'acheter un zouli T-shirt cher que les lumières s'éteignent.
Il est 19h30 et les Dresden Dolls débarquent sous quelques acclamations timides (ça va vite changer !). Le duo va nous livrer un set intense et impeccable. Peu de chansons jouées, mais toutes dans des versions super longues. De leur (excellent) album, ils ne chanteront que « Good Day » et « Coin Operated Boy », puis « Half Jack » à la fin. Sinon, on va surtout avoir droit à 3 reprises hallucinantes : une chanson de Black Sabbath (dédiée à « George fucking Bush »), une des Queens of the Stone age et … une gigantesque reprise de « Dans le port d'Amsterdam » durant laquelle la chanteuse Amanda Palmer se déchaîne et qui va l'amener à être acclamée par le public. Un des moments les plus forts de toute la soirée ! Une voix d'une puissance hors du commun, une orchestration piano/batterie éclatante, une présence scénique folle… Les Dresden Dolls, avec leur fougue, leur énergie, leur bonheur et leur générosité auront encore contribuer à réchauffer l'atmosphère (qui n'en avait pourtant pas besoin !).
J'attendais beaucoup de cette première partie, le groupe aura dépassé mes attentes. Et deviendra instantanément « la meilleure première partie que j'ai entendue » ! Procurez vous leur album, c'est grand.
La soirée commençait décidément bien… ça n'allait pas changer !
Déjà, Trent et ses potes ont eu le bon goût de ne pas se la jouer méga stars en ne nous faisant pas attendre des heures dans cette ambiance tropicale. Là encore, on a tout juste eu le temps de se désaltérer un peu avant d'enchaîner avec la suite des hostilités (ce qui ne nous empêchera pas de nous éventer sans arrêt, et de vider des tonnes d'eau dans nos gosiers et sur nos tronches !).
A 20h37 très précises, la musique du morceau d'intro « Pinion » se fait entendre. Les lumières ne sont pas encore éteintes, et le public un peu léthargique va avoir du mal à réagir au fait que ça commence ! Mais très vite, c'est la folie. Tout le monde se lève (on passera tout le concert debout, même dans les gradins), commence à hurler et applaudir. Les lumières s'éteignent, le groupe arrive sur scène dans la pénombre, la tension monte encore d'un cran.
Et soudain, c'est l'explosion avec la méga destroy « Wish » qui propulse tout le monde dans l'univers torturé de NIN. Pendant 1h50 (sans rappel, mais bon, c'est quand même rare un concert de NIN qui dure si « longtemps »), le groupe ne va plus nous lâcher. Dans la fosse, là bas en bas, c'est l'hystérie. Dans les gradins, c'est pas mieux, avec un public définitivement acquis à la cause du groupe et qui tape dans ses mains, crie et reprend en chœur les phrases emblématiques des chansons (ça commence par un bon gros « Fistfuck » sur « Wish »). Dans notre petit trio, Claire et moi allons nous mettre en mode « groupie on » tandis que même mamiènamoi, que j'ai traînée là, va participer et apprécier le concert (en tentant d'échapper à la folie des deux malades qui l'encadrent !).
Sur scène Trent se déchaîne complètement. Hurlant, sautant dans tous les sens, pilonnant sa guitare, il est plus « rock star » que jamais. Comme toujours sur scène, le démiurge libère ses démons pour livrer une prestation habitée complètement hallucinante. Il parlera peu au public, comme d'habitude. Quelques « thank you », une ou deux phrases perdues par ci par là. Reznor vit un peu sur sa planète sombre et folle, même devant 7000 personnes qui lui sont dévouées. Par contre, il se livrera à quelques prouesses éclatantes comme le « lancer de bouteille dans le public le plus loin possible », « l'agression du guitariste en plein morceau », le classique « jeter de micro »… La furie (auto)destructrice des années passées est un peu éteinte, mais le bonhomme a encore de beaux restes, et il entend prouver maintes fois qu'il est un monstre de scène.
Le reste du groupe n'est pas en reste. Seul Allessandro aux claviers restera discret et effacé derrière ses machines pendant tout le concert. A part lui, Jerome Dillon à la batterie est impressionnant, surtout par ses démonstrations techniques puissantes. A la basse, Jeordie White se fait imposant. Quant à Aaron North à la guitare, c'est un fou furieux qui ne cesse de sauter dans tous les sens et de faire des moulinets avec son instrument (de musique !). Il finira le concert en brisant sa guitare contre un mur et en la jetant dans le public.
Tout ce beau monde est évidemment tout en noir, comme il se doit.
Une fois n'est pas coutume au Zénith (surtout sur un concert « bruyant »), le son est très bien réglé. Vu l'avalanche de décibels, c'est plutôt une bonne nouvelle : on ne ressortira pas de là avec les oreilles explosées. L'équilibrage des instruments sera néanmoins favorable à la basse (un marteau-pilon intraitable pendant 2 heures) et la batterie, mais les guitares et synthés ne sont pas noyés dans le reste. Quant à la voix de Trent, elle surnage, limpide, au dessus de tout. On repérera évidemment le recours parfois à des bandes enregistrées, mais ça ne gâche pas le concert pour autant.
Pas de mise en scène grandiose avec écrans vidéo et projections sur un rideau géant, juste un savant jeu de lumières (parfois un peu trop élaboré et grandiloquent, soit) et 5 panneaux lumineux derrière le groupe. C'est presque sobre, c'est beau.
Après ces considérations d'ordre général, replongeons dans le déroulement du concert.
Alors que les guitares de « Pinion » ralentissent, le groupe nous emmène immédiatement dans un univers furieux et destructeur avec le grandiose « Wish » (pour mémoire, l'une des meilleures chansons sur la mort de l'amour, traitant le sujet sous un angle ultra-violent assez original). Les guitares se déchaînent, Trent hurle, le public est immédiatement happé par la musique. Lorsque la chanson s'achève brutalement, c'est une explosion de cris et d'applaudissements.
A peine le temps de souffler que le groupe enchaîne avec « Sin », chanson plutôt proche de la pop synthétique sur album, transformé en monument destroy sur scène. L'alliance des guitares et des synthés fonctionne bien malgré quelques ennuis techniques qui semblent gêner Trent (et qui aboutiront plus tard à un « drame » sur lequel je reviendrai). Nous on s'en fout un peu : c'est tout simplement beau !
Premier morceau extrait du dernier album, « The line begins to blur » n'est pas forcément une chanson taillée pour la scène. De fait, elle est mieux sur le disque, le mélange des instruments aboutissant ici un peu à une bouille sonore inaudible. Mais bon, le plaisir de crier avec Trent les « I don't know » du second couplet rattrape la légère déception de cette version.
Décidément, le groupe a décidé qu'on ne soufflerait pas en nous assénant dans la foulée l'énorme « March of the pigs », une des chansons les plus violentes de NIN. C'est l'occasion des premières démonstrations de lancer de micro et de déchaînement sur scène, et des premières grosses agitations dans la fosse. Impitoyable, MOTP est un rouleau compresseur qui laisse tout le monde sur le carreau.
Pour s'en remettre, il fallait un morceau lent et aérien… Quoi de mieux alors que la meilleure chanson du monde, alias « Something I can never have », chef d'œuvre dépressif et planant, élégie noire et contemplative pour piano, synthés et paroles dépressives ? Dès les premières notes, j'entre dans un état extatique et me prépare au choc de ma vie. Malheureusement, c'est à ce moment là que la technique va lâcher et que Trent va péter les plombs. Après quelques paroles, il entreprend de saccager avec le pied du micro un spot qu'il se prend en pleine face. Du coup, quand il tente de recoller au texte, il a un temps de retard. Après une minute et demie de chanson, tout s'arrête, les lumières s'éteignent... On se demande ce qui se passe, et après quelques réglages, des excuses bredouillées par Trent (« We're going to shoot ourselves »), le groupe entame le morceau suivant ! Au-delà de la déception de ne pas avoir entendu ma chanson préférée, on aura tout de même assisté à un grand moment surréaliste, ou comment transformer une grosse bourde en péripétie fun. Je ne sais pas si on aura un jour le fin mot de ce qui s'est passé là, mais les spéculations vont bon train sur tous les forums !
Enfin, comme pour se faire pardonner, Trent décide de ne pas se laisser abattre et de mettre les bouchées doubles dans des versions énergiques et superbes de « The hand that feeds » et « Terrible lie ». Trop souvent entendue, la seconde parvient même à retrouver une seconde jeunesse ici.
Plus rare, « Burn », que Trent avait composé pour la bande originale de "Tueurs Nés" est jouée dans une version dépouillée de tous les artifices indus de la version studio… Tant mieux ! D'autant que ça fait ici ressortir la ligne de basse, les guitares déchaînées, et que le public peut à nouveau se lâcher.
Petite accalmie avec un « Home » disponible en bonus sur le dernier album. Pas la meilleure version de ce titre, mais un beau moment tout de même, avec un très beau travail sur les éclairages. De quoi nous préparer à l'hymne de NIN, leur seul véritable « tube », le grandiose « Closer ». Là, on titille les cimes de la perfection. D'autant que la version que nous livre le groupe est en tous points grandiose, avec notamment un intermède au synthé repris sur leur chanson « The only time », des riffs de guitares à la place de certaines lignes de clavier, une fin plus violente, et un Trent Reznor en apesanteur. Le public est aux anges et ne se gêne pas pour hurler « I want to fuck you like an animal »… Une certaine idée du bonheur.
Forcément, après un tel sommet, la chanson suivante allait paraître un peu faible. Quand en plus c'est l'une des moins bonne du groupe, « Suck », on attend patiemment la suite.
Et là, NIN nous assène coup sur coup trois merveilles dans un enchaînement magnifique. Trent est seul au piano, d'abord, nimbé de lumière, pour l'instrumental « The Frail ». Sur les dernières notes résonnent les premiers accords de « The Wretched », comme sur l'album "The Fragile". Pur morceau industriel, sa puissance est néanmoins indéniable sur scène. Et paf, on part directement ensuite sur un très beau « Reptile », morceau culte du groupe peu joué en live. Le son est ici d'une lourdeur incroyable et le public est aux anges.
Retour au dernier album avec "Love is not enough", chanson que j'avais découverte et aimée sur le bootleg du concert de Fresno, mais que je ne trouve pas terrible sur l'album. Preuve a été faite au Zénith que c'est définitivement une chanson taillée pour la scène. Je ne sais plus si c'est à la fin de ce morceau ou d'un autre que Trent s'est amusé à lancer sa guitare dans la fosse, ce qui a provoqué une bonne grosse hystérie collective ! Aux dernières nouvelles, la guitare aurait été promptement récupérée par la sécurité. Et personne ne serait mort.
Autre grand moment avec "Piggy", durant laquelle Reznor prend son bain de foule dans les premiers rangs de la fosse. L'occasion pour quelques uns de connaître leurs 15 secondes de gloire en criant les paroles dans le micro avant que Trent ne remonte sur scène en sueur et échevelé pour terminer le morceau.
Après cette chanson assez calme (même si le trip de Trent a encore fait monter la température d'un cran !), on revient à des chansons plus violentes avec une version démente de « Gave up » frôlant le mur du son et un « No you don't » complètement destroy.
Le groupe nous gâte décidément en enchaînant sur leur reprise de Joy Division figurant sur la BO de "The Crow", « Dead souls », qu'ils n'avaient pas jouée depuis un bon moment. Tribale, puissante, hantée, la chanson est un enchantement. Et ouvre idéalement la dernière partie du concert, d'un niveau exceptionnel.
C'est tout d'abord « The day the whole world went away », que je me prends en pleine face. Cette chanson est une de celles qui m'a accompagné douloureusement à un certain moment de ma vie, et même si cette période est heureusement révolue, ce morceau grandiose m'interpelle toujours profondément. Comme, en plus, la version live est formidable…
Et comme si on n'en avait pas assez d'un point de vue émotionnel, Trent se retrouve à nouveau seul au piano pour un « Hurt », qui est définitivement une des plus belles chansons du monde. Poignante, douloureuse, la chanson met le public en transe et les trois quarts de la salle vont se retrouver avec les larmes aux yeux. Le reste du groupe intervient sur le dernier couplet, mais l'émotion sur le fil du rasoir reste bien présente. Là, on vient d'atteindre le nirvana, tout là haut là bas.
Le concert aurait pu se terminer là, mais comme une espèce de rappel sans attente, le groupe va clore le set avec trois chansons explosives. Et même bien violentes lorsqu'il s'agit de « You Know What You Are? » et « Starfuckers Inc. », complètement tétanisantes. Là encore, le public comme le groupe se lâchent sur les rengaines « don't you fucking know what you are ? » et autres « don't you ».
La fin en apothéose sera illustrée par « Head like a hole », premier morceau du premier disque du groupe. Une manière de boucler la boucle et de mesurer le chemin parcouru, dans une overdose de sons et de lumières. Après quelques derniers éclats (même si le groupe ne casse pas tout sur scène, pour une fois), Trent et ses potes quittent la scène sous un déluge d'applaudissements.
Lorsque les lumières se rallument, c'est presque douloureux… même si on sait qu'on va pouvoir maintenant échapper à la fournaise !
Le choix de chansons globalement assez bourrines au détriment de certains morceaux plus atmosphériques attendus en a déçu certains. C'est clair que ce n'est pas la partie que je préfère dans le groupe, mais ces chansons sont néanmoins idéales pour la scène. Je préfère écouter « The Fragile » tranquillou chez moi ou sur mon iPod par exemple, pas forcément sur scène.
Assez critiqué aussi, le fait qu'il y ait finalement eu peu de chansons du dernier album. C'est une constante chez NIN, néanmoins, qui bizarrement joue rarement des chansons du dernier disque sur la tournée qui suit ! Il y a presque eu plus de chansons de « The Fragile » hier que lors de la tournée Fragility d'il y a 5 ans…
Moi je m'en fous, je n'ai pas envie de jouer les rabat-joie après un tel concert. Je suis ressorti de là en ayant vécu des moments musicaux intenses, après avoir enfin assisté à un concert de ce groupe unique qui m'accompagne depuis 5 ans de manière très intime.
Alors je veux juste dire un grand merci à Trent et au reste du groupe… en espérant qu'ils n'attendront pas 5 ans pour revenir à Paris, cette fois !
Robert Smith |
Mon premier concert aura donc été Nine Inch Nails au Zénith de Paris, après avoir raté Autechre.
J’avais lu sur Internet que des gens se réuniraient à 17h à la fontaine, mais à 17h elle était en plein soleil et il n’y avait personne.
J’ai donc remonté l’allée qui va jusqu’au Zénith, et je me suis mis à l’ombre d’un poteau : étant assez mince, ça convenait parfaitement.
J’étais donc à la troisième file (première à droite), près d’un cercle de gens assez expressifs.
Le temps passait alors que la chaleur et le nombre de bouteilles de bières vides au sol augmentait dangereusement.
18h.
Spontanément, les gens se sont levés. Était-ce une bonne idée ? Ben non.
Les gothiques (appelés « les fans de Marilyn Manson » par un chauve du cercle) s’étaient majoritairement regroupés dans la seconde file, juste à côté des handicapés (qui se ressemble s’assemble, dit-on).
Un vendeur passait vendre des sandwichs, mais il était bien trop tôt pour ce genre de conneries.
Un gars avec un creux au menton passait dans les files pour vendre ses « band live » entre 30 et 40 euros, mais comme je suppose qu’il ne vendait pas des abonnements au fan-club the spiral, j’ai préféré refuser.
Et la chaleur augmentait. Il devenait de plus en plus difficile de rester debout.
Je commençais à comprendre qu’une bouteille d’eau de 33cl, c’était loin d’être suffisant. Si j’avais su…
18h40
Les grilles s’ouvrent. Les handicapés de la file 2 passent en premier (les handicapés physiques, puis les mentaux).
Le fait de voir courir les gothiques devant les gens en fauteuil roulant, alors qu’ils faisaient partie des premiers à entrer, m’a fait comprendre que décidément, on ne pouvait plus rien faire pour eux.
Dix minutes après, je suis à l’intérieur de la salle. Il commence à y faire chaud, alors que rien n’a commencé.
Le vendeur du bar mobile s’installe, les gens aussi.
Là, dilemme : aller dans la fosse ou s’asseoir ?
Je me sentais fort et résistant, et c’était une terrible erreur de penser ça. Oui, j’ai choisi cette saloperie de fosse.
19h40
Le concert devait commencer à 19h avec les Dresden Dolls, mais il aura fallu 20 minutes aux techniciens pour régler le bordel (pourtant, il n’y avait qu’une batterie, un clavier, quelques micros et quelques projecteurs), après être arrivés vers 19h20.
Pendant ce tems, une gothique avait l’air de me trouver à son goût, mais non merci, je ne mange pas de ce pain-là (y compris dans le désert affectif qui caractérise ma vie, c’est dire).
Les Dresden Dolls, c’était énorme. Le batteur faisait l’acteur, la chanteuse gueulait bien, et le tout n’était pas mauvais.
L’avant-dernier titre était « Dans le Port d’Amsterdam », et l’accent américain d’Amanda Palmer y était quasiment inexistant.
Notons qu’elle en a profité pour jeter de la Corona sur le public.
Le dernier était assez théâtral, avec une mimeuse toute de farine recouverte.
J’étais assez sceptique avant, mais le peu que j’en ai entendu suffit à me faire dire que ce groupe est définitivement digne d’intérêt : les pistes sont longues et la musique est bien travaillée.
Bon, niveau paroles, c’est autre chose, mais ce n’est pas à jeter pour autant.
À 20h10, ils quittent la scène, et je commence à avoir vraiment chaud.
20h40
Il aura fallu une demie-heure pour que Nine Inch Nails arrive.
Là aussi, les techniciens touchent à tout, vérifient certains trucs, collent des bandes de scotch par terre, ramènent une quantité non négligeable de bouteilles d’eau, …
Mais dès que les lumières s’éteignent, une partie du public de l’arrière de la fosse tente d’aller dans les premiers rangs : c’est un bordel monumental.
Un très grand dadet vient se foutre à 11 heures, faisant râler les petites fans derrière et me niquant une bonne partie de l’angle de vision.
Quoi qu’il en soit, les mouvements de foule par la suite furent tels que je ne l’ai plus jamais revu.
Tout au long du concert, des gens partent vers l’arrière, mal à l’aise.
D’autres vont vers l’avant, comme cet asiatique avec sa jeune fille sur les épaules.
Pendant les titres nerveux, c’est l’hystérie : des jeunes gens se balancent de gauche à droite et de l’avant vers l’arrière, sans ordre de préférence et parfois simultanément, en envoyant des coups à tout ce qui se trouve sur leur passage.
Étant d’un naturel frêle, ces connards ont failli me faire tomber plusieurs fois, et les malheureux coups de sac à dos que je leur ai assénés n’ont pas changé grand-chose.
Je pense qu’ils étaient drogués. Si ce n’est pas le cas, ils devraient être interdits de concert. Dans les deux cas, en fait.
Parmi les passages mémorables : « haven’t guys here heard of air conditioning before ? christ… » et la justification de l’avortement de Something I Can Never Have : « fucking crew… they cannot make this shit work together ».
Pour ces deux phrases, je ne suis sûr de rien du tout, mais c’est ce que j’ai cru comprendre.
Durant les 4\5èmes du concert, j’étais dégoulinant de transpiration dans cette fosse à 40°C, trop fatigué pour m’agiter et trop confiant envers mes capacités physiques pour repartir en arrière.
~22h30
C’est fini… je fonce vers le bar ambulant qui vend de l’eau et de la bière, je lui en demande un de chaque :
« Ça fera 7 euros ! »
J’avais envie de lui dire « WTF ? » mais la soif était telle que je lui ai vite tendu un billet de 10 euros.
L’eau (33cl) à 3 euros, la 1667 (33cl aussi) à 4 euros.
Oui, c’est du vol.
Mais si ils investissaient dans de la climatisation, ils perdraient une partie de cette source de revenus non négligeable, j’imagine.
Je ne sais pas combien de temps il m’a fallu, mais j’ai tout bu vite fait.
Une partie à été bue pendant l’attente aux stands de vente de saloperies NINesques ou DDesques.
Ces stands sont incroyables.
On peut attendre 10 minutes au même endroit sans que le vendeur ne jette un œil sur nous, tout comme on peut arriver et se faire servir tout de suite.
J’ai bien évidemment fait partie de la première catégorie, si bien que j’ai été à un autre stand : « un t-shirt S à 25€, deux stickers à 2€, un pins à je ne sais plus combien et un poster à 5€ ».
Au stand suivant : « une pochette de stickers à 10€ » parce que le précédent n’en avait plus.
Le T-Shirt, c’est aussi parce que ma chemise et mon pantalon étaient trempés, et que revenir en transports en commun en étant mouillé de haut en bas, c’était pas recommandé. Donc juste en bas.
En plus, la ligne 5 était fermée dans l’intervalle qui m’intéressait pour me rendre chez moi, donc j’ai dû prendre 3 correspondances pour arriver jusqu’à la station RER E Magenta, qui m’emmène à la Gare de Nogent-Le Perreux.
À la sortie de la gare, j’attends le 120, sachant que c’était peut-être la dernière fois que je le prenais (je déménage à l’autre bout de la ville dans les jours qui viennent).
Bon, il est en retard mais j’en ai l’habitude. Je rentre, me fous devant les portes de sorties, et un couple regarde mon T-Shirt.
Le bonhomme me dit « t’as été au concert ? », ce à quoi je n’ai pu que répondre par l’affirmative.
Sa vision des choses : pas assez du nouvel album. Et il aurait aimé entendre « The Perfect Drug ».
Le hasard fait que l’on descend au même arrêt, que l’on va dans la même direction, mais que je marche plus vite qu’eux.
00h45
Au courrier : encore une enveloppe de pub de la part d’Epitech, alors qu’ils m’en ont déjà envoyé le jour d’avant.
Une fois rentré, je me précipite sur le robinet, vide mon sac à dos, mets le plan de Paris à sécher (il s’est pris la fin de la bière sur le coin de la gueule), fous tous les vêtements sur moi et sortis du sac à dos à sécher, et pars essayer de dormir.
Je n’ai pas réussi tout de suite. Trop de souvenirs. Trop de mal partout. Trop soif. Trop de bourdonnements dans les oreilles. Trop de transpiration.
Ruzgfpegk |
j'etais tout devant j'ai tenu 30s et je suis partie, il faisait trop trop chaud et je me suis dit il vaut mieux etre un peu loin et profiter a fond plutot que d'etre devant et de crever avec mon petit 1m60, surtout que je transpirait comme pas possible sa aurait decevant que je tombe dans les pommes lol
donc je me suis mise sur la gauche, alors j'y croyais pas mais j'etais a quoi 6-7 mettre a droite de trent et yavais grave de l'espace, de l'air koi !! alors je sais pas pour vous mais a gauche le public etais MORT ! j'etais la seule a sauter sur place HAHA au debut je me suis dis que j'allais paraitre ridicule mais m*rde j'etais la pour profiter, j'en revais de ce concert et j'y etais alors je me suis defoulée toute seule pas ecrasée rien mais je me sentais bien seule haha
de toute les autres reviews le public bougeait bah perso je donne 0 a la fosse coté gauche. je voyais deux trois gars bumpé leur tete c'est tout... ou alors j'ai compris ils etaient tous subjugués
Un long post pour ne rien dire en fait, en resumé sinon ENORMISSIME je connais NIN depuis 1 an et demi maintenant et j'ai vraiment redecouvert les sons, toutes les chansons prennent une dimension assez indescriptible en live.
Meryl |
Magnifique.... un de mes plus beaux concerts.
je vous passerez ma journée à Paris et irai direct au but, arrivé vers 17h00 au bar de la musique je me prendrai avec mes potes 2 bonnes despé 50cl à 7€50 (et oui on est à Paris c'est officiel
je verrai pres de la fontaine certains personnes de NINFR avec la petite pancarte mais je prefere resté avec mes potes a siroter ma biere et matter les gens que l'ont croisera tout le long de la soirée, les tshirt que je n'avais jamais vu etc...
18h00 on s'elance, la une personne tres active du site apparement de clermont ferrand et tres sympathique papotera avec nous durant le trajet, on commence a faire la queue... la cette personne de clermont apercevra Mister Laurent Caron himself et nous lui donnons notre bonjour
la queue comence ... 1er point negatif... à l'ouverture des portes on s'en une mauvaise organisation monstrueuse.... certains portes s'ouvrent... d'autres non ...le filtrage est au compte goute...heureusement on est pas trop au fond... ca passe au bout d'une bonne demi heure..
je v direct à la boutique de merchandising de peur qu'il n'y ia plus le magnifique sweat a fermeture WT.. je clake pour 95€ de tshirt etc...
je rejoins mes potes, on s'assois... et attendons (redoutons) les Drescend dolls..., on crians le pire car le peu de MP3 que nous avons écouté nous avaient pas plus du tout tout tout
La 1ere partie commence avec toujoursl e flot de personne arrivant ce qui nous coupe regulierement le champ de vision avec le genre de gland qui reste debout devant nous alors qu'il y a des place assise plus loin
Les DD sont magiques, on est bluffés, musiciens et chanteur fabuleux.. on applaudit a chaques morceaux... communication excellente.... presque a regretter de pas etre aller dans la fosse!
les DD terminent on se leve on aplaudit... ce fut excellent.. un grand bravo!!
on retourne se chercher quelques biere... je me change car le merchandising m'encombre... je porte donc mon sweet WT a fermeture ouvert un tshirt autour de la taille et un autre dans la grand poche d'un pote.
on fiat nos pronostic sur le demarage... je reve d'un pinion wish pronostiqué par le meme pote sans y croire du tout....
20h30 Pinion...... 20h31 c la folie je suis au centre de la fosse comme un fou le pogo est exceelent, tres bonne ambiance aucun mauvais gestemon reve se réalise!!!
viens un magique sin tout se déroule comme je le revais mais un probleme majeux arrive à moi: LA CHALEUR!!!!
des concerts que j'ia fait c'est la premiere fois que chaleur aussi humidi et etoufante arrive à moi...
J'arrive à filmer avec mon appareil numérique un tout tit morceau de trent en trian de fracasser son micro et strombo durant un SICNH coupé du coup
je tiens pendant les 6/7 premiers titres et ne tiens plus je fonce direction le hall et les chottes ramasses toutes les bouteilels d'eaux que je trouve par terre les remplies... fout ma tete dans le lavabo et refonce direction fosse
arrosage d'un peu tout le monde et reserve d'eau pour j'espere la soirée... et non....
au bout de 5 titres les reserves sont épuisées a force d'arraosage intensif et de pret de bouteilel massif
je ferai 4 voyage durant le concert comme celui ci pour essayé de rafraichir mes alentours et mes potes et les gens a bout et une magnifique americaine avec qui j'echangerai mon adresse mail à la fin.
point de vue concert .... absolument rien a redire...
le son était parfait! uacun instrument saturait ou dépassé l'autre....
Aaron était super mouvant, tres aerien.. un regard un peu dur juste mais il a super bien relevé finck pas decu..
les 2 autres nouveaux sont resté assez discret..voir tres discret..
les panneaux arrieres à la WT ont données un putain de bon effet notaemment sur Gave up et à la fin j'avais peur d'un concert trop simple niveau luminosité ben encore une foi c'etait parfait..
je trouve juste que Trent aurait put dialoguer un poil plus avec le public (surtout apres la prestation tres relationnelle de DD avec le public) mais on connait l'animal et c'etait tres correct... notamment sont point sur la chaleur et le fraccassage d'un fucking machin sur something i can never have
le concert se termine...donc la tracklist etait quasiment parfaite... je regrette un right where it belong et only mais il ne faut pas etre fine bouche.
c'etait du grand NIN
je v enfin parlé à mon américaine, me fais remercier par un ou 2 gars que j'ai depanner en eau
Direction sortie... j'ai les mains comme quand je ressort d'un bain ...toutes frippées ... mais je suis mechamment heureux!!!!
retour au bar... despé.... on remémore...c'etait génial...
de tout ca je retient donc une prestation de NIN TERRIBLE!!!
une organisation du Zenith TERRIBLEMENT pas à la hauteur entre l'ouverture des grilles ... et l'AERATION... (oui car au 21eme siecle il existe des ventilateurs, clim, etc....) et au pire ne serait ce que d'ouvrir touts les portes avant l'arrivées des gens... car étant rentré dans les premiers il faisait déjà une chaleur insupportable en rentrant.
Le zenith de montpellier à le meme genre de souci d'ailleur niveua chaleur..mais avec les moyens qu'on a aujourd'hui je ne comprends pas comment on a put subir une telle chaleur... au pire il y a des lances à eaux... sans les faires tourner tout le concerte un ptit arrossage a chaque fin de titre ca aurait pas été de refus....
SebFucktor |