Live in Paris Zenith 2009 |
Nin s'est produit a paris le 7 juillet 2009 ... pour la dernière fois ? Etait-ce mieux qu'en 2007 ? bien oui, c'est simple, tout le monde a adoré sans exception, ca doit être un signe ?
Apres une semaine de canicule, un temps californien lundi pour l'arrivé de Trent, enchanté avec Mariqueen, ils vont s'acheter de la lingerie sur paris, mardi des nuages et une courte pluie providentielle va éviter la chaleur immonde de 2005
A 16:30 les preventes nin.com sont disponibles, un ticket personnalisé en couleur qui brille... mais tout petit. Les gens peuvent ensuite faire la queue pour rentrer après ceux qui ont payé 300$ pour Eric, en train d'écouter le soundcheck, par contre, à 18:00 il restait encore énormément de monde dans la file nin.com, toujours aussi remplie, et à 18:00 les portes se sont ouvertes, pour tous, et les nin.com ont été victime de leur lenteur et de l'excès de testostérone des videurs.
Après une première partie miou et ennuyeuse, Trent en très grande forme débarque comme en 1999 avec l'excellente intro de Fragile qui met tout le monde d'accord s'enchaine des tubes de Tds, Broken, et encore Fragile, mais ou sont les 3 derniers albums ? ben y'aura que Thtf et Survivalism ! très surprenant après le matraquage live précèdent du slip. Un concert pour les vieux, avec un Trent en forme exceptionnelle, un robin extra classe, un Justin mou, et un Ilan qui fêtait ce soir là ses ... 21 ans, Trent lui a fait une belle surprise que je vous laisse admirer dans ma video, j'ai pris pas mal de vidéos, malheureusement le son était trop fort. Le zenith était complet, la foule était très réactive, vraiment une expérience mémorable... vivement les arènes de Nimes !
Pour poster vos vidéos et photos préférez Youtube et Flickr, avec en tag les mots clefs respectifs suivants :
ninz8y6w1gjhj et ninz8y6w1gjhj ceci pour les faire apparaitre officiellement sur nin.com dans les galeries officielles du concert :
http://beta.media.nin.com/gallery/index?g_type=token&g_val=2070&g_media=video
http://beta.media.nin.com/gallery/index?g_type=token&g_val=2069&g_media=photo
http://www.flickr.com/photos/40239069@N02/tags/ninz8y6w1gjhj/
http://www.youtube.com/results?search_query=ninz8y6w1gjhj
Sinon vous avez le thread officiel, le thread ETS et le thread francais ninforum:
http://forum.nin.com/bb/read.php?21,764430,764430#msg-764430
http://www.echoingthesound.org/phpbbx/viewtopic.php?p=1812563
http://ninforum.org/sutra60524.php
Photos:
cet album photo est un best of des photos de Camyc, eksyt, ericgoepfert, framal, Frantic666, Marie Jouit, Ninjaw P.B., now-im-nothing, reznor eyes, Saintange80, Silv101, sustainthetrip, Tilippeet xidius.
Certaines sont nommées suivant leur heure exacte et d'autres ont du être adaptées.
Photos de photosconcerts.com
Somewhat Damaged Encore: Prévu mais pas joué : |
Video bootleg multicam complet :
Playlist youtube
1.Somewhat Damaged
2 Terrible Lie
3 Heresy
4 March of the Pigs
5 Reptile
6 The Becoming
7 I'm Afraid Of Americans
8 Burn
9 Gave Up
10 La Mer
11 The Fragile
12 Non-Entity
13 Gone, Still+The Way Out Is Through
14 Wish
15 Survivalism
16 Anniversaire d'Ilan sur un mashup de Closer
17 Physical (You're So)
18 The Day The World Went Away
19 Hurt
20 The Hand That Feeds
21 Head Like A Hole
Reviews:
Concert Nine Inch Nails / Le Zénith / 07.07.09Publié le 8 juillet 2009 | Ecrit par Jean-Sébastien Zanchi |Hier, c’était un grand soir pour les amateurs de musique à Paris. Q-Tip jouait au Bataclan, Amanda Blank (et son mini short) ouvrait pour Santigold à l’Élysée Montmartre et le vétéran Leonard Cohen remplissait Bercy à coup de places à 100 euros. Mais un seul valait vraiment le déplacement : Nine Inch Nails au Zénith. Pourquoi ? Parce que c’était tout simplement l’un des meilleurs concerts de ma vie. Alors que la terre entière pleurait à la télévision Michael Jackson qui n’a finalement réalisé que trois bons albums en 45 ans de carrière, une autre partie bien plus avertie avait choisi d’assister à l’un de derniers concerts français de NIN. Trent Reznor ayant annoncé il y a peu, la mort du groupe (ou du moins sa mise en suspens pour une longue période), c’est donc forcément un Zénith complet qui accueillait la formation. Quatre musiciens exceptionnels, un jeu de lumière comme j’en ai rarement vu, un son comme j’en ai jamais entendu au Zénith, une setlist ultra pertinente, je crois tout simplement que le show était quasi parfait. Après avoir tweeté les dernières dates de cette ultime tournée, le geek Reznor entre en scène, accompagné de ses trois acolytes. C’est alors un déluge sonore et visuel qui s’abat sur le public subjugué et à la fois suractif. Trop rarement j’ai vu des spectateurs aussi fans et impliqués dans la musique d’un groupe. Les bras sont en l’air, les gens chantent, pogotent et slamment. L’enchainement Heresy / March of the pigs, tous deux tirés de The downward spiral, met tout simplement tout le monde à genou alors que le concert vient de débuter. Claque sur claque, on se prend Terrible lie en pleine gueule, on essaye d’esquiver en vain I’m afraid of Americans (interprété originellement avec David Bowie), au moment où l’on croit se relever, Somewhat damaged nous met proche du K.O. tandis que The fragile, Head like a hole et The day the world went away finissent enfin de nous achever. Et pourtant on en redemande, à croire qu’on est devenu complètement masochiste. Reznor et sa formation se permettent tout, même de prendre se prendre à un moment pour Yann Tiersen et sortir contrebasse, piano et xylophone pour interpréter La mer, véritable perle instrumentale sertie dans un écran de violence. Car un concert de Nine Inch Nails, c’est un déferlement d’agressivité ponctué de moment de pure grâce. Trent Reznor a beau être une brute épaisse, le raffinement de la production de ses albums a toujours montré qu’il savait aller bien plus loin que cette virulence primaire. Nine Inch Nails est une sorte de Depeche Mode sous amphet’. Et ce son. Ce son d’une densité inouïe qu’on reçoit en pleine face, mais qu’on ne subit pas. Ce son influencé aussi bien par le rock, le métal, la musique électronique ou l’indus. Ce son toujours parfait même sur scène. Ce son est ciselé comme un sculpteur façonnerait son oeuvre conçue à partir d’un matériau brut et affiné au fil de son expérience. Et ces lumières. Même sans les projections du talentueux Rod Sheridan (qui capturera sur scène la séquence anniversaire du batteur de 21 ans entouré de deux strip-teaseuses), cette tournée est parfaite de ce point de vue là. La synchronisation avec chaque détail de la musique fonctionne au beat près et épouse idéalement les chansons. Cela rajoute encore de l’émotion, comme si on n’en avait pas déjà assez pris dans la gueule. Même les fans de NIN ne s’en remettent pas et admettent que le groupe atteint en ce moment même son apogée artistique. Certains, revenus du concert de Milan il y a quelques jours, trouvaient cette date encore plus réussie. D’autres, ayant assisté à leur septième concert toutes tournées confondues, pensaient hier soir que ce concert était le meilleur qu’ils n’avaient jamais vu du groupe. Je suis tout proche de penser la même chose. Mais de tous les groupes que j’ai pu voir en live en quinze ans de concert. Et pour les geeks, voilà mon compte rendu en direct sur Twitter dans l’ordre antéchronologique :
|
Voila ce que je retiendrais du 07.07.09. EricG |
it was the third time I attended a NIN show. BARRY44 |
Amazing. Johnny Ripper |
Finally, my report of the 07.07.09 show in Paris (sorry for my approximate English) : EricG |